Ezio Corino Vieux Loup Solitaire
Missives : 128 Date d'inscription : 20/10/2010 Age joueur : 38 T'es où? : Sous un arbre... SISI c'est possible Occupations : Former ce foutu gamin à survivre à ces foutus cannibales Tu t'sens comment? : Comme un chasseur attendant doucement que sa proie se place dans son viseur
| Sujet: Ezio Corino [Normalement c'est fini :p] Jeu 21 Oct - 10:47 | |
| Votre passeport
●●● Ezio Corino feat Viggo Mortensen « De profundis clamavi ad te »
| ______*Montrez votre laisser-passer !!*
• Votre niveau RP [ ] TRES BON [ ] BON [ ] ASSEZ BON [X] NORMAL • Age : 42 ans • Groupe : Traqueur • Occupation: Traqueur réfugié depuis la sortie des habitants de l'abri, il a trouvé Leto et l'a formé à devenir le meilleur. • Caractère : Endurant - Déterminé - Dur à tuer - Efficace - Intelligent - Sage - Manipulateur • Ses faiblesses : Sa plus grande faiblesse est surement sa paranoïa, non pas qu'il soit flippé mais il se méfie de tout et de tout le monde le moindre bruit le fait réagir et il ne semble jamais vraiment à l'aise, ouais bon d'accord il est peut être un peu flippé... En même temps, tellement d'horreur vue dans son passé, tellement de souffrance, de peur, la mort le frôlant chaque jour, mort qu'il n'esquivait que grâce à cette peur, ne peut on lui pardonner d'être devenu un peu plus tendu? Plus méfiant envers l'homme et ses bas instinct? Même s'il essaye de faire preuve de bienveillance? • Particularité : Maître de Leto |
|| Histoire ||
- Spoiler:
« Bordel que çà fait longtemps, je ne me rappelle pas la vie d'avant, ou plutôt je me suis efforcé de l'oublier. La seule chose qui me reste de cette période est le souvenir de ce regard. Pauvre enfant, elle était passée devant moi et elle avait quoi douze peut être treize ans, sacrifié car faible, sourde, elle serait un poids de trop à trainer. Une hache qui s'abat, le bruit du crane qui se fend. Ce jour là je suis mort. Ce regard me hantait, la peur marquait par la certitude de son destin achevée, des fois je me dis qu'elle fut plus chanceuse que bien des gens... Elle n'aura presque pas connu ce monde et, morte rapidement, elle n'y aura pas vu la totalité de ces horreurs, elle n'aura pas connu tout ce que j'ai vu, tout ce que j'ai vécu ou fait pour survivre. Le souvenir de ses yeux ne me fait plus mal, je vis avec, il m'a ouvert les portes de la haine, depuis je cours. Si ce jour là je suis mort, je suis également renait d'un nouveau souffle, le souffle de la colère qui fait maintenant couler mon sang et battre mon cœur, claquer mes muscles au confins de leurs possibilités pour entraver l'avancé insatiable de ces barbares, jusqu'à extermination, au moins de l'un d'entre eux.... Caïn. » Page première du journal personnel de Ezio...
Le reste n'étant que le recensement concis de ses actions jusqu'à sa rencontre avec les citoyens du bunker: Nombre de cannibales tués, de personnes libérées, types et nombre d'objet volés ou trouvés et où, déplacement des cannibales, leurs campements... etc...
Lorsqu'il s'est enfui, au départ, il ne cherchait qu'à sauver sa vie, se déculpabiliser en quelques sortes des horreurs qu'il a vue et où il n'est pas intervenu, qu'aurait il put faire de toute façon? Il courrait et luttait pour aller le plus loin de ces horreurs, mais jamais il n'allait assez loin et ses peurs autant que sa conscience le rattrapait toujours, quand ce n'était pas la nature qui s'opposait à lui. Il erra ainsi quelques mois avant de trouver une vieille battisse, ce qui semblait avoir été une habitation il y a bien longtemps. Il voulu se cacher là, vivre là loin des anthropophages. Il squatta quelques jours, vivant de vieilles boites de conserves qu'il avait trouvé.
Ce fut au cinquième jour qu'il trouva derrière les reste du lit, un coffre dans le mur, une boite en plomb, il tourna la poignée, il était fermé mais pas verrouillé, il l'ouvrit, dedans il y avait une photo avec il la regarda, son cœur fit un bond, il en tomba assis, il ne savait pas vraiment ce qu'était une photo, c'était plus une légende pour lui qu'un objet réel... Il la vit, l'enfant de sa fuite, ce regard lui revint en mémoire, le regard n'était pas apeuré mais triste et mélancolique sur l'image, elle n'était également pas tout à fait pareille, des vêtements différents, les cheveux, mais c'était cette maison, plus belle, plus brillante que maintenant, l'image ressemblait beaucoup à la fillette de son souvenir. Il regarda derrière, il y avait des mots, il ne les comprenait pas, il ne savait pas lire... Il garda la photo. Il y avait trois autres choses dans le coffre, la première était une arme à feu il avait déjà vue un truc du genre chez les gars de la horde, un pistolet à six coups, avec une boite de balles, il examina pendant un moment l'objet, il vit deux balles les mêmes que dans la boite dedans, il appuya sur la gâchette, un bruit fort lui fit siffler les tympans et un trou apparu dans une sorte d'explosion dans le mur, il trouva comment l'ouvrir et mis les balles manquantes avant de mettre la boite dans une poche de son pantalon. La dernière chose dans le coffre était un carnet, il n'y avait rien d'écrit dedans sauf une phrase, la même que derrière la photo apparemment. Il le prit. Il passa toute la nuit suivante à regarder la photo quelque chose avait changé, la haine avait prit le pas sur la peur.
Il ne mit que quelques semaines pour revenir sur ses pas. Il voulait affronter le regard de Caïn voir la peur dans ses yeux, dans les yeux de tous les cannibales. Il les observa pendant des jours entiers, profitant du peu de végétation, de la nuit et du moindre recoin. L'enclos était dans une sorte de caverne très sombre et surtout comportant bon nombre d'accès. Il ne savait pas vraiment quoi faire, mais il voulait aider ce « bétail » humain et agir directement à l'encontre des barbares. Sa première idée était de foncer dans le tas, tuer le plus possible de cannibales en libérant les prisonniers, permettant ainsi au prisonnier de prendre le surnombre, mais il risquerait de se faire tuer rapidement sans même avoir libérer qui que ce soit. Il décida d'agir en douceur. La première nuit il fit des repérages sur les chemins non gardés, puis il se glissa doucement vers un garde solitaire et en lui masquant la bouche d'une main il agrippa par derrière et le traina dans un recoin discret pour lui planter un bout de ferraille pointu dans la gorge, l'homme s'éteint sans le moindre bruit. Il lui vola une sorte de grand couteau et s'approcha de l'enclos, sans se faire voir ni des gardes, ni des prisonniers. Il éteignit quelques rares torches qui éclairaient l'un des chemins et se cacha sans bruit. Les gardes ne se doutant pas d'un présence vinrent voir pourquoi elles s'étaient éteinte. Il profita de l'avantage d'être seul dans cette noirceur contre les cinq gardes pour les massacrer. En effet, les gardes étaient persuader de n'être qu'eux dans le noir, sans vision, lui il savait que toute autre présence que la sienne était hostile, il pouvait donc les tuer en silence sans trop se faire remarquer. Il couru ensuite dans un autre tunnel tira quelques coups de feu pour attirer les gardes restant sur un mauvais chemin et grâce à ses repérage, il put revenir et ouvrir l'enclos avant l'intervention des gardes, il s'enfuit avec les réserves de nourriture des barbares sous leur nez, par le tunnel éteint et les conduits loin de la horde. Il passa beaucoup de temps avec ces hommes et ces femmes et l'un d'eux un vieux, une sorte d'érudit lui appris lire et à écrire un petit peu, les mots du livre et de la carte disaient la même chose: « de profondis clamevi ad te, domine » l'homme lui dit que c'était une très vieille langue, du latin, il avait déjà vue cette phrase dans un livre, elle voulait dire: « des profondeurs nous t'implorons, Seigneur », Ezio n'a pas de seigneur, mais il a le souvenir de cette fillette, c'est elle qu'il implorera de le pardonner. Les années qui suivirent Ezio devint de plus en plus solitaire et de plus en plus actif face à la horde, affinant ses techniques et redoublant ses assauts. Une fois il se trouva face à son ennemi, Caïn, lors d'une fuite, ils se toisèrent et Ezio lui échappa dans les ombres de la nuit. Beaucoup d'histoires et de légendes se sont formés sur ses actions contre les cannibales et plus il agi, plus les affrontait plus il les haïssait et voulait la mort de Caïn.
Plus le temps passait, plus il devenait un maitre de la survie, il connaissait maintenant la région mieux que quiconque et comment y survivre malgré la horde, tout autant. Mais il devenait aussi plus vieux, certes plus expérimenté mais aussi plus lent, plus aigrie, plus parano et surtout manipulateur, il n'aurait pas hésiter à sacrifier quelqu'un à moment donné et il a bien failli le faire s'il ne s'était pas rendu compte que sacrifier une vie pour la survie du plus grand nombre était équivalent à ce que fond ces cannibales. Cependant une chose inattendu s'est produite, le bunker dont il avait entendu parler par ses parents, dont certains de ses ancêtres avaient bénéficié, venait de s'ouvrir. Il rencontra rapidement certains de ces humains et compris qu'il serait bien à son avantage de les aider et de se joindre à eux contre la horde d'autant que cet endroit pourrait aider bien des réfugiés. Il fut assimilé à un groupe de soldat de reconnaissance, les traqueurs, c'est d'ailleurs via cette voie qu'il rencontra un de ses lointains cousins, Leto, sale mioche prétentieux, un espèce de petit con qui se la joue je-m'en-foutiste... En gros la seule façon qu'il avait de l'encadrer c'était en lui fourrant la tronche dans un mur. Mais à travailler avec lui, puis l'instinct familial sans doute il se décida à prendre ce morveux sous son aile et changea petit à petit d'avis sur lui, en se rendant compte du potentiel impressionnant du jeune homme. Il voyait en lui celui qui tuerait le chef anthropophage, en lui fournissant les connaissances et le techniques qu'il a accumulé ces dix dernières années il ferait de lui l'arme ultime contre Caïn....
|| Caractère & Description ||
Avec les années naquirent des sens qui le rapprochaient au final plus de l'animal que de l'homme, un vieux loup solitaire. Trop de temps à fuir, à se cacher que maintenant coucher, tout habillé, dans un lit chez les survivants, il entend encore dans la pièce d'à coté le soufflement de repos, la respiration lente et tranquille que laisse échapper son voisin, un bruissement léger qu'il est capable de comprendre en fonction de la vitesse et de la quantité d'air qui quitte les poumons de toute personne non loin. Il haï ces moment là, la nuit ne lui apporte rien que des cauchemars, il n'a pas dormi depuis plusieurs nuits et voilà qu'il passe celle-là à écouter la respiration endormi de son voisin de chambre. Doucement, laissant tout le temps à son corps de se réveiller il se mit debout et encore sortit observer la nuit. La nuit était claire, la lune brillait fort dans le ciel. Il se perdit dans ses pensées profondément jusqu'à ce qu'un bruissement suivi du déplacement très rapidement d'une ombre un peu plus loin le sortent de sa torpeur, un rat, simplement un rat. Il relâcha le couteau qu'il avait saisi à sa ceinture et repris ses contemplations de la nuit. Il faisait un peu frais et en frottant ses mains pour se réchauffer il se surpris à les regarder un moment, ses mains, rappeuses, épaisses et puissantes, les mains d'un survivant... Combien de vie ont-elles prises? Après un grande inspiration qu'il savourait à chaque fois dans cet endroit, où il savourait la douce odeur de la liberté et d'une sécurité un tant soit peu précaire, pas l'odeur acre et désagréable de la mort, il retourna s'assoir sur le lit.
Il pourrait presque penser que la vie pourrait être agréable avec un peuple comme celui-là, mais il a trop bien connu les horreurs dont sont capables les hommes, devenir pire que les animaux, agir par cruauté, capable de se retourné contre sa propre race, contre sa propre progéniture, par impulsion ou par envie voire même par simple cruauté. La vie n'est lente agonie. Même si Caïn et la horde venait à disparaître, la faim ou le manque de tel ou telle ressource pourrait pousser ce peuple à devenir pareil voire encore pire si tel est possible, il ne reste que l'espoir que ces survivants aient de quoi vivre sans avoir besoin d'aller aussi loin. Cela encore si aucun autre peuple barbare ne viens pas remplacer la horde. La seule chose que souhaite Ezio serait que la horde disparaisse suffisamment rapidement pour les habitants de l'abri ne soit pas contaminer par la façon de vivre des cannibales et qu'il puisse du coup ne plus être une proie. S'ils ne lui offraient pas une protection et les moyen d'agir contre la horde il n'aurait de toute façon pas besoin d'eux, ils ne sont que le moyen d'arriver à ses fins maintenant, de toute façon il fera tout pour y arriver, surtout maintenant qu'il a le jeune Leto pour prendre sa suite. Finalement il sent peut être un peu d'espoir, mais reste à déterminer quel est cet espoir.
Il se sentait un peu mieux, ce regard le hantait moins d'un coup. Demain, il établira un nouveau plan, une nouvelle chose à apprendre à son « disciple », il lui montrera peut être quelques planques, quelques vieux bâtiments dans lesquels trouver des ressources et comment y accéder facilement. Enfin il verrait, après un bâillement silencieux il quitta son gros pull à capuche et le posa sur sa veste sur le lit, il retira ensuite la chemise et le T-shirt à manche longue qu'il avait en dessous. Il s'étira un moment avec craquements de ses os, il observa ensuite son corps de quadragénaire, pas mal de cicatrices, il soupira, son corps était bien plus musclé qu'il en a l'air sous ses vêtements. Il gratta son épaisse barbe, quitta ses chaussures et une de ses deux paires de chaussettes qu'il mit dedans, Cacha sous le lit ses trois poignards et la petite hache qui l'accompagne puis allongea son mètre quatre vingt dix dans ce lit un peu trop petit et se couvrit avec une toile son pull, sa veste lui servant d'oreiller avec son revolver en dessous. Il dégagea un mèche de cheveux un peu trop longue de devant son visage et se rendormit sans penser à ses cauchemars.
|| Relations ||
"Caïn"
Caïn, l'ennemi contre lequel Ezio a voué sa vie. Il sait que Caïn est le chef suprême de la horde, un chef puissant craint et respecté et il sait que ce n'est pas rien si tel est le cas. D'une certaine façon il craint, il ne l'a vraiment vue qu'une seule fois et sait que s'en approcher pour le tuer et loin d'être une chose aisé, même pour quelqu'un comme lui. Cependant, il le haï, il le déteste plus encore qu'il n'est possible de haïr quelqu'un. Il l'a vu commettre ou faire commettre un quantité effrayant d'atrocité et la pourchassé comme un animal, sans pour autant jamais avoir réussi ne serait ce qu'à le coincer une seule fois. Ezio vivait traqué, une proie, un morceau de viande que Caïn se serait surement conservé par vengeance s'il l'avait jamais attrapé. Car si Ezio veux la mort du chef cannibale il n'hésite pas à lui mettre des bâtons dans les roues et a ainsi libérer nombre d'humains de ses réserves de nourriture, il a également tué quelques uns de ses hommes, trop gênant ou a découvert. Ezio espère en fin de compte que si Caïn vient à mourir la horde s'entredéchirera faute d'un vrai chef pour tenir unifié ce chaos, et finira par s'autodétruire ou du moins suffisamment s'affaiblir pour ne plus mettre en danger la moindre personne qui ose regarder le ciel.
Leto Corino
Leto, la première fois qu'il le vit, il le trouva immédiatement arrogant et désagréable, un pur je-m'en-foutiste, un vrai petit con qu'il ne supportait pas. Lorsqu'on proposa à Ezio de faire partie des traqueur, il s'intéressa à chacun des jeunes traqueur présent, cherchant le meilleur pour lui apprendre son savoir faire et ainsi trouver celui qui sera apte à prendre sa suite contre Caïn, mais lorsqu'il découvrit que le meilleur, le plus proche de celui qu'il recherchait était ce sale morveux, il fut très déçut jusqu'à ce qu'il découvre que ce gamin avait le même nom que lui. Ainsi donc ce jeune homme était le descendant de la branche noble de la famille, les plein de pognons qui avaient put s'offrir une place dans les bunkers. Il décida de le prendre sous son aile, après tout autant apprendre à un membre de sa famille ce qu'il a mis dix ans à apprendre, autant que sa vengeance et son objectif soit transmis au même sang même lointain. Plus il passe du temps plus il change d'avis sur Leto et se rend compte de l'incroyable potentiel de son apprenti, mais il sait que Leto n'est pas encore prêt à entendre ses vrais motivations, il ne lui dira peut être jamais, mais il sait que c'est le bon choix, d'autant qu'il ne laissera pas le jeune homme mettre sa vie en danger, la vie est trop précieuse.
Jacob Hanscom
Jacob? C'est un mec bien, trop gentil, mais bien... Voilà ce que dirais Ezio sur le leader des gens du bunker. En fait, il trouve Jacob vraiment sympathique, c'est peut être la seule personne au monde en qui il pourrait avoir confiance, car il sait que c'est une personne bienveillante et entière. Il est reconnaissant envers Jacob de l'avoir recueilli et d'en avoir fait de même pour bien des réfugiés comme lui. Cependant Jacob est surement trop gentil, non pas qu'il devrait abattre à vue le premier réfugier qui vient, mais un homme relativement non violent ne semble pas le mieux placé pour diriger un peuple en guerre surtout quand celui-ci est plus une proie qu'un ennemi pour ses opposants. D'autant qu'Ezio a l'impression que en vivant dans ses fortifications protégé par la Task Force, il n'a pas vraiment un point de vue objectif sur ce qu'il se passe et se montre du coup trop tendre. Il craint que même les fortifications et la task force ne puisse rien faire face aux animaux de la horde avec un attitude pareille.
TEST RP
Alors je suis désolé, c'est vraiment pas un terrible post, mais c'est le dernier qui me reste d'un autre fofo, pour l'histoire, le perso, Alastor, est un élémentaire de glace très agé qui dois servir de rödeur pour guider une sidhe maudite dans les marais avec un lycanthrope... Et je ne peux pas retourner en trouver un mieux vue que je suis banni de chez xooit... dsl s'il ne conviens pas j'en ferais un autre c'était vraiment par fainéantise :p - Spoiler:
Le demi-sidhe les observa tous deux un instant. et écouta le charmante sidhe qui s'ouvrait à eux avec une confiance aveugle et une gentillesse sans borne, il la laissait parler sans mot dire, pour ne pas interrompre les informations qu'il accumulait en espérant qu'elle finisse par lui être utile. Il observait également la salle d'un coin de l'œil avisé et affuté pour ne pas être la cible de guerrier mal intentionné qui auraient voulu se la jouer grand costaud pour impressionner quelque gueuses que ce soit au détour d'un excès de levée de coude à comptoir. Il aimait bien ces endroits car le bruit atténuait les conversations qui se voulaient trop gênantes et les négociations discrètes, mais il y avait toujours le risque qu'un oreille mal intentionné s'immisce dans une conversation et qu'elle déclenche tôt ou tard des ennuis que la discrétions des membres de la discutions aurait put éviter. Bref il se fixa dans le regard de la jeune femme. Amacath était donc une sidhe sans vraiment de pouvoirs sidhe, avec juste les excès de sa mutation, un peu trop jeune et innocente, offrant une confiance sans recul aux gens mais avec le feu animal des griffons qui brille dans son regard, le caractère animal et impulsif de cet animal et plus qu'omniprésent en elle, il devrait se méfiait d'un retour d'orgueil de cette demoiselle.
Le lycanthrope quant à lui semblait beaucoup plus méfiant certes encore plus foufou que la demoiselle, probablement plus jeune, bien plus jeune, mais il avait déjà compris que faire trop vite trop confiance était dangereux, il était plus sage et plus vif qu'il n'y paraissait, ce sera pratique contre certaines créatures des marais. Cependant celui là refusa de se livrer et d'offrir sa contribution à la petite équipe quand à ses compétences, soit il est en fuite ou quelques mercenaires le recherche, soit il est si craintif qu'il a vraiment quelque chose à cacher. M'enfin, la raison qu'il invoqua, selon laquelle ces lieux n'étaient pas et de loin approprié à ce genre de discutions n'était pas infondée et la prudence de l'animal ne put que semblait juste et honorable au bonhomme de neige. Alastor ne s'attendait pas à la question que lui posa Dante et marqua légèrement sa surprise devant l'audace de ce jeune homme, surprise qui se muta en un sourire simple et satisfait auquel il laissa échapper sa réponse:
Je suis comme Amacath à moitié sidhe, et tout comme elle mon pouvoir viens de mon second sang, sauf qu'il est exacerbé dans une spécialité, je suis aussi à demi-élémentaire d'eau, mais vous deviez vous en douter, sans quoi vous ne m'auriez pas poser la question.
Ce à quoi il ajouta avec ses mains une explication plus.... explicite. Deux glaçons, de taille identique se formèrent dans ses mains, ils se mouvèrent lentement, se travaillèrent et se sculptèrent comme une cascade inversée, dans sa main droite une mini Amacath droite avec noblesse et douceur, dans la gauche Dante dégageant puissance et assurance. Le visage d'Alastor se marqua d'un sourire plus grand en les regardant chacun tour à tour, surtout quand la mini Amacath sortie une massue de deux fois sa taille d'une poche pour écraser le mini Dante. Alastor observa les modèle de base avec un petit coté mesquin dans le regard et le sourire.
Je sais ce n'est pas très impressionnant mais je pense que çà aurait causer problème avec des statues de cinq mètres.
Il observa la demoiselle d'un air un peu plus grave et leurs dit:
Vous êtes cependant encore très jeune, vous devriez faire plus attention, après tout rien n'a garantie que je sois vraiment ce rôdeur que vous cherchiez. Mais bon, comme c'est moi... Je crois, je vous pardonne, vous avez quoi, quelques dizaine, d'années, une centaine maximum pour vous demoiselle. Voilà pourquoi vos pouvoirs ne sont pas encore apparu. Enfin bref, je pense qu'il faudrait se décider à y aller non? Il y a encore tant de choses à faire et de chemins à parcourir jusqu'à la vieille sorcière.
Ce sur quoi il se leva en laissant deux grosse pièces d'or sur la table.
Et toi? Qui es-tu?
• Votre pseudo et/ou prénom : Nounours • Age : 24 • Présence moyenne sur le forum sur 7 jours: 7 jusqu'à ce que je trouve du boulo, cependant je suis en train de me remettre au rp donc je ne peux pas garantir que je posterais tous les jours^^ • Que pensez-vous du forum globalement? : Il a réussi à me sortir de ma torpeur rpique donc il doit pas être si mal que çà :p • Comment l'avez vous connu ? : En zonnant sur tourdejeu • Que pensez-vous du design ? : A la fois sobre, classe et bien en rapport avec le forum. • Commentaires, Suggestions ?: Nop pas pour le moment :p • Avez vous lu & signé le règlement ? : Yep
Dernière édition par Ezio Corino le Ven 22 Oct - 19:10, édité 3 fois |
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